Vie et mort des civilisations
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Cet opuscule vise à montrer qu’il existe une loi immuable qui détermine la destinée des civilisations humaines. Celles-ci, comme du reste toute chose manifestée en ce monde, passent nécessairement par ces stades successifs de développement : naissance – croissance – apogée – déclin – mort. Dès lors, le trop fameux « sens de l’Histoire » de même que les idées modernes de « Progrès » ou d’ « Évolution », ne constituent que de vulgaires fables. La progression indéfinie au sein d’un univers fini est effectivement une pure hérésie, rien n’étant éternel ici-bas.
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Description
Cet opuscule vise à montrer qu’il existe une loi immuable qui détermine la destinée des civilisations humaines. Celles-ci, comme du reste toute chose manifestée en ce monde, passent nécessairement par ces stades successifs de développement : naissance – croissance – apogée – déclin – mort. Dès lors, le trop fameux « sens de l’Histoire » de même que les idées modernes de « Progrès » ou d’ « Évolution », ne constituent que de vulgaires fables. La progression indéfinie au sein d’un univers fini est effectivement une pure hérésie, rien n’étant éternel ici-bas. Ainsi, à travers cet essai, l’auteur, s’appuyant sur des sources traditionnelles diverses et variées, se propose d’affirmer les caractères cycliques et catastrophistes de l’histoire universelle. Cette morphologie historique, bien connue des Anciens, stipule que le destin des civilisations est à tout jamais fixé par des lois naturelles, pour ne pas dire par la Volonté divine, et, surtout, qu’il dépend prioritairement de la soumission intégrale de l’ensemble du groupe humain aux vérités universelles contenues dans une tradition révélée. En d’autres termes, et pour entrer dans le vif du sujet, nous verrons à travers cette étude que si les civilisations naissent et se développent en compagnie de leurs mythes et de leurs dieux tutélaires, celles-ci, en retour, s’effondrent et disparaissent en reniant leur sacralité fédératrice et en commettant l’erreur prométhéenne du matérialisme moderniste. La marche des temps historiques ne se déploie donc pas en ligne droite évolutive, mais bien comme une suite de vagues ou de courbes de Gauss successives, ce qui faisait dire tout simplement au grand historien grec Polybe que « Tous les organismes, tous les États et toutes les activités passent par un cycle naturel, d’abord la croissance, puis la maturité et enfin la décomposition ».
Informations complémentaires
Poids | 95 g |
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Dimensions | 19 x 11 x 0.9 cm |
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